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  • GÊNE
    CHAMOMILE DOUCHE pH 4.2
    Douche vaginale avec action apaisante
    Solution prête à utiliser dans un contenant à usage unique de 147 ml
    Chamomila Recutita Action apaisante
    Acide Lactique Régulateur de pH

    Pourquoi ce produit ?

    EVA INTIMA® CHAMOMILE DOUCHE pH 4.2 à l’extrait de camomille est conçu pour éliminer les sécrétions accumulées et pour soulager immédiatement et efficacement les symptômes de démangeaison, de brûlure et d’irritation de la muqueuse qui peuvent accompagner ou non une infection vaginale.

    Sa composition est enrichie d’acide lactique qui renforce l’équilibre acide du vagin.

    Apaisement

    Utilisation régulière

    Conception d’embout spéciale

    Dispositif à usage unique

    Comment ça fonctionne ?

    Il nettoie délicatement la muqueuse vaginale sans risque de transférer des microorganismes, des sécrétions et d’objets étrangers vers le col et l’utérus.
    La conception spéciale de l’embout du dispositif et la bouteille transparente facile à presser garantissent une application sans blessures.
    Le produit est exempt de substances pharmaceutiques, d’hormones, de colorants et de parfums artificiels.

    Comment puis-je l’utiliser ?

    • En cas de vaginite, la douche vaginale doit être appliquée 1 fois par jour pendant 2 à 3 jours, 30 minutes avant d’appliquer un autre produit pour la zone intime (à moins que votre médecin traitant vous conseille autrement).
    • Dans le cadre d’une utilisation préventive, il doit être appliqué jusqu’à 1 à 2 fois par semaine pour le nettoyage et le rafraîchissement du vagin.
    1. Briser le couvercle de protection sur la partie supérieure du dispositif
    2. Tirer l’applicateur vaginal jusqu’à ce que vous entendiez un « clic ». Appuyer délicatement sur la bouteille pour voir si la valve de sécurité est ouverte. Si la valve n’est pas ouverte, introduire à nouveau l’applicateur dans le flacon et répéter la procédure.
    3. Introduire l’applicateur dans le vagin et procéder au lavage en appuyant constamment sur le flacon.

    Pour effectuer le lavage, vous pouvez être assise aux toilettes ou dans la baignoire [assise ou debout].

    • En cas où il resterait une quantité de solution nettoyante importante dans le contenant, extraire le contenant du vagin et répéter la procédure de lavage avec la quantité restante de solution nettoyante.

    NOUS SOMMES ICI pour vous répondre.

    Chaque question correspond à un besoin. C'est pourquoi il vaut la peine d'y répondre.

    Qu’est-ce que la vaginite ?

    Le terme vaginite désigne l’inflammation de la muqueuse vaginale, c’est-à-dire de la membrane qui couvre la surface intérieure du vagin.

    Quels sont les symptômes de la vaginite ?

    Les principaux symptômes de la vaginite, indépendamment de la cause, sont les démangeaisons, l’irritation, les brûlures et des sécrétions excessives dont la texture, odeur et couleur diffèrent des sécrétions physiologiques. Parfois, ils sont accompagnés de douleurs pendant les rapports sexuels ou la miction.

    Quelles sont les causes les plus communes de la vaginite ?

    Les causes les plus communes de la vaginite sont les bactéries et les champignons mais elle peut aussi être due à l’absence d’œstrogènes ou à une allergie (p. ex. par l’utilisation de préservatifs ou d’autres produits intravaginaux). Néanmoins, les cas où une inflammation n’a pas une cause connue précise ne sont pas rares. Ces cas sont désignés comme des vaginites non spécifiques et sont habituellement dus à un déséquilibre hormonal (courant pendant la grossesse).

    Comment puis-je savoir si je souffre d’une vaginite bactérienne ?

    La vaginite bactérienne est le type de vaginite le plus fréquent. Les symptômes les plus courants sont les démangeaisons, les irritations, les brûlures et des sécrétions excessives fluides, d’une odeur prononcée (odeur de poisson) qui peut devenir plus forte après les rapports sexuels ou les règles, de couleur grise.

    Cependant, il faut être prudent car il existe des maladies sexuellement transmissibles qui sont dues à des bactéries, telles que l’inflammation vaginale provoquée par le Trichomonas Vaginalis.

    Dans tous les cas, un diagnostic et un traitement appropriés et sûrs ne peuvent être assurés qu’après une série d’examens réalisés par un gynécologue (colposcopie, culture des sécrétions vaginales, etc.), une approche recommandée chaque fois que vous observez des changements dans la zone étendue.

    Comment puis-je soulager les symptômes d’une vaginite ?

    Il existe une série de produits capables de vous soulager en fonction de vos symptômes. Cependant, vous ne pouvez pas attaquer la cause de l’inflammation sans consultation préalable de votre gynécologue et sans administration d’un traitement approprié.

    VERS PAGE « LES PROBLÈMES »

    Pour les vaginites d’origine bactérienne, vous pouvez combiner (schéma pour vaginite bactérienne)

    Pour les vaginites d’origine à champignons, vous pouvez combiner (schéma pour vaginite à champignons)

    Pour les vaginites d’origine non précise, vous pouvez combiner (schéma pour vaginite non spécifique)

    Comment puis-je prévenir l’apparition d’une vaginite ?

    L’apparition d’une vaginite peut être prévenue en préservant la flore naturelle de la zone, en assurant la prédominance des lactobacilles, l’environnement acide du vagin (pH 3.5-4.5) et la présence de l’acide lactique ainsi que l’humidité nécessaire pour les tissus. La préservation de ces conditions empêche l’apparition d’inflammations. Dans le cas où ces conditions seraient perturbées, il existe des produits tels que les probiotiques, les régulateurs du pH vaginal et les produits d’hydratation qui peuvent aider à rétablir et à préserver ces conditions ainsi qu’à prévenir les inflammations.

    Par exemple, vous pouvez combiner (schéma pour la prévention de la vaginite et pour le renforcement de l’équilibre naturel)

    Conseils :

    • Vous pouvez opter pour la prise quotidienne de probiotiques par voie orale sous forme de compléments spéciaux riches en lactobacilles pour renforcer la flore vaginale facilement et de manière naturelle
    • utiliser quotidiennement des solutions nettoyantes spéciales pour la zone intime, dotées d’une protection renforcée contre les microorganismes.

    Je souffre souvent de vaginite peu après les règles. Quelle en est la raison ? Que puis-je faire ?

    L’arrivée en âge de procréer est marquée par le saignement périodique pendant quelques jours tous les 24 à 28 jours. La présence de sang dans la zone, quoique naturelle, peut perturber légèrement l’environnement vaginal, affectant le pH vaginal ainsi que la population de lactobacilles car le pH du sang est neutre. Cette incidence associée au fait que le sang constitue un substrat nutritif apprécié par les champignons naturellement présents dans le vagin empêche souvent l’organisme de contrôler le surdéveloppement des champignons qui sont à l’origine d’une inflammation dans la zone intime.

    En renforçant le mécanisme d’élimination naturelle des restes de sang et en rétablissant les valeurs acides du pH naturel du vagin, il est possible de limiter l’apparition de vaginite après la fin des règles.

     

    VERS PAGE « LES PROBLÈMES »

     

    Par exemple, vous pouvez combiner (schéma pour la prévention de la vaginite et pour le renforcement de l’équilibre naturel après les règles)

    Conseils :

    • Opter pour des serviettes hygiéniques en coton, plutôt que des tampons, et les changer régulièrement
    • utiliser quotidiennement des solutions nettoyantes spéciales pour la zone intime, dotées d’une protection renforcée contre les microorganismes.
    • Vous pouvez opter pour la prise quotidienne de probiotiques par voie orale sous forme de compléments spéciaux riches en lactobacilles pour renforcer la flore vaginale facilement et de manière naturelle

    Je souffre souvent de récidives de vaginite à champignons. Quelle en est la raison ? Que puis-je faire ?

    Même si les champignons sont des habitants naturels du vagin, ils sont souvent à l’origine d’inflammations. Cependant, il y a des facteurs spécifiques qui empêchent de réduire leur nombre et de prévenir l’apparition d’une vaginite. Par conséquent, les symptômes d’une vaginite à champignons réapparaissent souvent très vite après la dernière incidence, ce qu’on appelle une récidive. Les principales causes en sont la résilience accrue aux traitements pharmaceutiques habituels, le diagnostic incomplet, l’autodiagnostic, le non respect des schémas de traitement, etc.

    Dans tous les cas, un diagnostic et un traitement appropriés et sûrs ne peuvent être assurés qu’après une série d’examens réalisés par un gynécologue (colposcopie, culture des sécrétions vaginales, identification des souches responsables, choix de substances actives efficaces, etc.), une approche recommandée chaque fois que vous observez des changements dans la zone étendue.

    Le respect rigoureux des schémas de traitement et l’adoption de pratiques qui renforcent immédiatement l’équilibre et la défense de la zone aident à prévenir de manière efficace les récidives.

    Par exemple, vous pouvez combiner (schéma pour la prévention de la vaginite et pour le renforcement de l’équilibre naturel)

    Conseils :

    • Opter pour des sous-vêtements en coton et éviter les sous-vêtements synthétiques trop serrés
    • Éviter les protège-slips
    • Changer immédiatement de maillot de bain et ne pas s’asseoir directement sur le sable de la mer
    • Éviter les vêtements serrés en général et tout ce qui risque d’augmenter l’humidité et la température de la zone de manière considérable
    • utiliser quotidiennement des solutions nettoyantes spéciales pour la zone intime, dotées d’une protection renforcée contre les champignons.

    Quand puis-je faire une douche vaginale ?

    Le lavage et le nettoyage de la muqueuse vaginale à l’aide de dispositifs spéciaux peuvent se faire chaque fois que vous avez besoin de vous débarrasser de sécrétions et d’odeurs gênantes, de soulager des symptômes tels que les démangeaisons et les brûlures ou si vous souhaitez renforcer la sensation de confort et de fraîcheur dans la zone.

    À quoi sert la douche vaginale ? Pourquoi faut-il éviter les solutions faites maison ? Pourquoi faut-il éviter les solutions antiseptiques lors des douches vaginales ?

    L’application d’une douche vaginale n’est bénéfique (dans la mesure où les consignes d’utilisation sont respectées) que lorsqu’elle renforce et accélère la capacité autonettoyante du vagin, éloignant les restes de sang, les hypersécrétions, naturelles ou pathologiques, tout en soulageant les sensations de gêne telles que les démangeaisons, les irritations, les brûlures ou les odeurs désagréables.

    Lorsque la douche vaginale est réalisée avant l’application d’autres produits intravaginaux, elle maximise l’efficacité de ces derniers et contribue de manière substantielle au traitement de conditions pathologiques.

    Il faut éviter l’application intravaginale de solutions qui sont fabriquées à la maison, notamment à cause de leur composition variable, tout comme l’utilisation d’appareils inadéquats fréquemment utilisés, lesquels favorisent les lésions, le transfert de microorganismes pathogènes vers le col de l’utérus et l’utérus, augmentant ainsi le risque d’une nouvelle infection.

    De même, lorsqu’il n’y a pas de raison spécifique, les agents antiseptiques puissants doivent être évités car ils ont un impact négatif sur la flore naturelle et sur l’intégrité de la muqueuse vaginale.

    À quelle fréquence puis-je faire une douche vaginale ?

    La fréquence d’application des douches vaginales dépend de la raison pour laquelle elles sont utilisées.

    Dans des conditions normales, où l’application d’une douche vaginale sert à préserver l’hygiène et le confort de la zone intime, il est conseillé de respecter un intervalle d’application d’au moins 3 jours.

    S’il existe des raisons spécifiques, comme par exemple pour traiter une hémorragie, une leucorrhée ou pour soulager les irritations, l’application peut être répétée une fois par jour pendant 2 ou 3 jours consécutifs ou selon ce qui est recommandé par le médecin traitant.

    Pourquoi n’est-il pas conseillé d’employer le même appareil de lavage vaginal plus d’une fois ?

    Les douches vaginales doivent être effectuées dans des conditions d’hygiène optimales pour éviter le risque de perturber l’équilibre de la flore vaginale, ce qui pourrait provoquer des infections graves. En particulier, dans les cas où le lavage vaginal se fait pour soulager les symptômes d’une vaginite, l’utilisation répétée du même appareil peut entraîner une nouvelle infection due à la contamination de l’appareil ou de la solution.

    Dans quels cas faut-il éviter les douches vaginales ?

    Les douches vaginales ne sont pas conseillées dans les cas où une femme n’a pas encore eu de rapports sexuels ou durant la grossesse. Toute dérogation à cette consigne nécessite la recommandation préalable du gynécologue.

    Pourquoi est-il essentiel d’assurer une quantité importante d’acide lactique dans le vagin à tous les âges ?

    L’acide lactique est le facteur qui est responsable de l’environnement acide du vagin.

    Pendant l’âge de procréer, il est libéré des lactobacilles présents dans la flore physiologique du vagin après le métabolisme du glycogène que les lactobacilles utilisent comme nutriment. L’environnement acide du vagin est propice et renforce l’action des lactobacilles tout en réduisant le développement d’autres microorganismes pathogènes.

    Cependant, la préservation des conditions acides du vagin peut aussi être un moyen de prévenir l’apparition d’infections même après l’âge de procréer, comme par exemple lors de la ménopause. À ce stade de la vie d’une femme peuvent aider les régulateurs du pH vaginal qui procurent directement de l’acide lactique, aidant à obtenir l’acidité requise dans le vagin.

    Je souffre de démangeaisons, d’irritations et de brûlures dans la zone intime. Qu’est-ce que cela peut être ?

    Les démangeaisons, les irritations et les sensations de brûlure sont des signes cliniques qui se manifestent dans la région vaginale en raison de conditions dues à des causes variées. Ces signes se manifestent souvent en cas d’infections d’origine variée, auquel cas ils sont accompagnés de sécrétions excessives avec ou sans odeur. L’apparition de ces symptômes en l’absence de sécrétions peut être due à la sécheresse vaginale.

    Dans tous les cas, un diagnostic et un traitement appropriés et sûrs ne peuvent être assurés qu’après une série d’examens réalisés par un gynécologue (colposcopie, culture des sécrétions vaginales, etc.), une approche recommandée chaque fois que vous observez des changements dans la zone étendue.

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